Des astuces sur l’achat-vente immobilier

Vendre une maison ou un appartement n’est pas facile, car cela signifie qu’il faut faire un énorme investissement. Un vendeur immobilier doit absolument avoir de la patience. Autrement, la chance de vendre la maison à un bon prix risque d’être très mince. Il en est de même pour l’acheteur. Si ce dernier se précipite dans l’achat d’un immobilier, il risque de le regretter plus tard. Que ce soit le vendeur ou l’acheteur, la hâte est une mauvaise chose, puisque l’interlocuteur pourrait profiter de la situation, pour avoir ce qu’il veut à un prix très abordable.

L’achat d’un bien immobilier

Avant d’investir dans l’achat d’un bien immobilier, partagez avec votre agence immobilière, les critères que vous recherchez. Celle-ci vous aidera à trouver la maison de vos rêves. Cela, tout en prenant en compte votre choix pour un logement avec un rapport qualité/prix raisonnable. Une fois l’immobilier trouvé, il ne vous suffit plus que de prendre contact avec le propriétaire et proposer votre offre. Après négociation, l’acquéreur peut tirer profit de l’immobilier, en attendant la promesse de vente signée par le notaire. Cependant, une offre d’achat a aussi ses limites. Habituellement, entre 8 à 10 jours et après cela, le propriétaire a le champ libre pour modifier son annonce.

Le rôle du notaire dans l’achat-vente d’un bien immobilier

La signature d’un compromis de vente doit absolument se faire chez un notaire, conformément à la loi. Libre aux deux parties de choisir s’ils veulent le même notaire ou non. Après cela, le notaire doit réunir vendeur et acheteur pour une signature de l’avant-contrat. Normalement, ce notaire demande une commission de 5 % ou plus, du prix de vente. Évidemment, vous n’êtes pas obligé de lui accorder ce qu’il vous demande.

Les documents nécessaires pour l’achat-vente d’un bien immobilier

Avant de finaliser une vente d’un bien immobilier, le vendeur est dans l’obligation de réunir plusieurs documents. Ceci est irréversible, avant de transmettre à l’acquéreur ce qui lui revient de droit. Il faut un dossier complet de diagnostic technique qui démontre l’état du bien immobilier, dont une attestation de superficie, de la surface habitable, du lot de copropriété. Aussi un diagnostic de performance énergétique, un constat d’asbeste pour les logements construits avant 1997, un état des risques naturels, miniers et technologiques, un état de l’installation intérieure de gaz, un état de l’installation intérieur de l’électricité, un constat de risque d’exposition au plomb, si le logement a été construit dans les 1949, un état correspondant à la présence de termites ,si le logement se trouve dans une zone déclarée infestée et un diagnostic sur la présence de mérule en zone délimitée par arrêté préfectoral. Il faut également un diagnostic de plomb.