Voir considérablement fleurir ses investissements immobiliers rimerait aujourd’hui avec l’adaptation continuelle avec les nouvelles habitudes dans un monde qui change. À l’ère où la célérité prend de plus en plus d’ampleur, les contrats à long terme ne correspondent plus au temps de l’accélération des affaires. De nombreuses solutions s’offrent aux investisseurs déterminés qui ne veulent pas prendre le risque de voir des surfaces à moitié remplies, des surcoûts résultés de l’inoccupation ou encore des coûts de sortie excessifs.
Les besoins actuels en immobiliers tertiaires
Ce vaste marché qui inclut les immeubles de bureaux, les hôtels, ou encore les autres infrastructures liées à ce domaine comme les entrepôts, les murs commerciaux ou les stades et équipements sportifs requièrent actuellement une grande adaptabilité. Des changements de pratiques et d’habitudes pour suivre l’évolution des tendances du marché s’avèrent nécessaires. Les enjeux environnementaux, sociaux ainsi que la contrainte de la gouvernance s’ajoutent à l’obsolescence et à la vétusté des habitudes en investissements immobiliers des grands acteurs motivés dans le domaine. Les nouvelles organisations du travail privilégient davantage le « coworking » ainsi que le « flex office » ou l’inexistence de bureau fixe. Les standards de l’immobilier tertiaire actuel exigent également de nouveaux services plus sociaux et plus centrés sur l’humain : existence d’une cafeteria de qualité dans les locaux du bureau, une salle de sport, une crèche pour les enfants, une aire de repos avec infrastructures adéquates et même un supermarché pour faciliter la vie des employés.
Quelles solutions pour allier innovation et immobiliers tertiaires ?
La solution environnementale consiste sur le long terme à la suppression intégrale des émissions de carbone et la marche vers l’autosuffisance en matière énergétique de l’immobilier tertiaire actuel. L’installation des façades photovoltaïques, des sources de captages éoliennes, des procédés géothermiques innovants reste les principales résolutions. Une refonte ou encore une destruction des infrastructures ne sont pas encore escomptées, mais la validation de futures réglementations environnementales pour l’atteinte d’un nouveau socle réglementaire sur l’évolution technologique et industrielle des filières du bâti et des équipements ne restent pas du moins impossible. Mieux vaut alors prévenir ces éventuelles lois et procéder aux travaux et aux réglages fins des immeubles. Ces investissements écologiques réduiront considérablement la facture d’énergie. L’avènement des nouvelles technologies. En parallèle, l’optimisation de l’espace rare en surfaces pour une amélioration au quotidien des salariés et des autres acteurs au sein de l’entreprise augmenterait aussi considérablement le rendement productif. Le recours à l’utilisation des outils modernes et accessibles facilitera enfin le contrôle minutieux du coût de gestion et des actifs immobiliers professionnels. Il en résultera aussi une simplification palpable du pilotage du parc immobilier par le management.